
Le point de départ sera la Guadeloupe.
L’association y est bien représentée et les actions menées par notre antenne locale ont permis une reconnaissance de notre travail. Et puis, le contexte local appuie fortement la nécessité de mettre en place un laboratoire Surfrider. Des eaux chaudes et cristallines, mais une réalité moins reluisante. Problèmes d’assainissement, pesticides, réseaux vétustes, contribuent à une dégradation de la qualité des eaux littorales. Les témoignages de notre antenne locale sont sans appel : affections de la sphère ORL, gastro-entérites, problèmes de peau sont le lot quotidien des surfeurs locaux. Le projet est en bonne voie, et si nous obtenons les financements nécessaires, le lancement devrait se faire début 2011. La surveillance qualité de l’eau sera la priorité de notre laboratoire mais parallèlement à ce travail d’autres actions seront développées. Par exemple la question des déchets aquatiques reste, elle aussi, cruciale dans une île où le tri sélectif n’a fait son apparition que fin 2010.
auteur et crédit photo: Olivier BarrièreResponsable environnement, Surfrider Foundation Europe
1 commentaire:
S'ils veulent pas choper de maladies, ils ont qu'à pas tomber de leur planche, les surfeurs !
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