Les concurrents sont partis de Saint-Malo le 29 octobre, et le vainqueur, Lionel Lemonchois, est arrivé une semaine après, surprenant tout le monde (le vainqueur de la première édition, en 1978, Mike Birch, avait mis 23 jours...).
Ici, comme vous vous en doutez, c'était LE gros événement, da big event quoi. Ca passait avant toute chose aux infos, avant la réunion des producteurs de banane, avant le festival du crabe de Morne-à-l'eau, avant le résultat de la sélecion de Guadeloupe de foot (qui, hier, a battu la République Dominicaine 3 à 0 -dont un but de Jocelyn Angloma- dans les qualifications pour la Digicel Cup ; cette info est pour Emrik).
Bref, vous l'aurez compris, l'île n'a vécu que pour la transat pendant plus de 2 semaines. Les Guadeloupéens suivaient plus particulièrement 4 skippers qui représentaient la Guadeloupe : Claude Thélier, Luc Coquelin (petite digression -encore- à propos de son nom qui fait rire tout le monde ici... son surnom est Nick, car "Luc Coquelin, mais nick l'autre"... Non? Bon, explication : en créole, "coquer" = "niquer"...), Philippe Fiston (le seul vrai natif de l'île, les autres étant des métros installés ici) et Philippe Chevalier.
La municipalité de Pointe-à-Pitre avait installé une sorte de village, avec des stands commerciaux, des animations etc... devant la darse de PAP, sur la place de la victoire.
Vendredi dernier, le 17, j'ai accompagné des élèves de 3°insertion avec d'autres collègues, sur les lieux. Nous sommes d'abord allés à la marina de PAP, où les bateaux déjà arrivés mouillaient. Voici quelques photos.



Sur cette photo, on peut voir une de mes élèves (avec le t-shirt vert) interviewant Servanne Escoffier, arrivée dans la nuit-même. Sur la gauche, une collègue.


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